Ma tâche est redoutable : comment résumer le plus fidèlement possible ce superbe week-end (voire plus en prenant en compte les innombrables heures de préparation) en un article de longueur raisonnable et sans y passer une nuit ? Le plus simple est de commencer par vous rendre hommage à vous tous, glorieux membres du 41 et du Quatalagor au sens large, pour votre dévouement et votre engouement, qui ont permis, une nouvelle fois, de montrer à quelle hauteur se situait l'esprit d'hospitalité et de convivialité à Dole ! La flamme doloise a été entretenue de la plus belle des manières.
La soirée de Gala à la Salle des fêtes le vendredi soir fut en tout point une réussite d'après ce qu'on m'a rapporté, en particulier grâce à la prestation du duo Gilles et Joël, dont il faudra se rappeler le moment venu. J'abrège pour me concentrer sur l'essentiel : la soirée du samedi.
Eh oui, ce fut l'occasion de tester la Commanderie grandeur nature, et ainsi d'avoir un joujou à la démesure des ambitions de la soirée. Les personnes présentes le samedi après-midi furent à pied d'oeuvre pour mettre en place les décors et peaufiner les spectacles et les derniers détails :



2) Moi-même au garde-à-vous (je suis sûr qu'il y a une scène similaire dans un album d'Astérix : je vous laisse chercher et vous me dites lequel).
3) Nos deux Sandy avec leurs boucliers aux couleurs des Ladies.
3) Nos deux Sandy avec leurs boucliers aux couleurs des Ladies.


Et c'est ainsi que la XLVIIIe Légion de la Table Ronde se mit en ordre de marche : dans les vestiaires pour enfiler...
...nos tuniques. Notez la rigueur et l'inventivité de l'organisation romaine qui a su s'adapter à la modernité :
Prêts à la charge !!! Que l'on soir Romains... ou Esclaves ! 




A partir de là, chacun a vécu différemment sa soirée, donc ce que je vais raconter sont mes propres instantanés de la soirée, vous avez forcément vos propres souvenirs, surtout dans un soir comme celui-là où le but est de papillonner entre les stands et les rencontres.
En parlant de rencontres, vous les avez sûrement croisés : Astérix & Obélix étaient à Dole.



Eh oui, vous avez peut-être vu tout le spectacle de face, mais nous on l'a vu de fesses !!!
(Saurez-vous reconnaître le propriétaire de ce fessier?)

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Bon, c'est vrai qu'au bout d'un certain temps à croupir dans les geôles de César, c'est plus trop la forme olympique, surtout quand les godets de vin rationnés arrivent sur la gravière... Mais pour nous remonter le moral, Dibettonix parvint à nous récupérer une femme pour passer le temps ! Merci Dibettonix !
Mais nous n'eûmes pas le temps de nous occuper de cette Vestale car c'est ce moment-là que choisirent les Romains pour capturer Spartaco, au cours d'une attaque en formation de tortue.
Spartaco capturé, le duel final dans la reine, euh..., pardon dans l'arène pouvait commencer. César déclara les Jeux du Cirque Dolois ouverts. Les spectaculaires courses de chars ouvrirent le bal.

Puis Spartaco entra à son tour dans l'arène (le coquin), pour défier le champion Romain, Peinturlurus. Le combat fut intense et sanglant, mais Spartaco, dans sa lutte acharnée pour la juste reconnaissance sociale des esclaves, parvint à donner le coup de grâce, sous les vivats de la foule acclamant le héros.
Et comme dans toutes les aventures qui se terminent bien, tous les spectateurs furent conviés à festoyer au banquet des régions, à se rincer le gosier, mais également l'oeil quand les Ladies vinrent danser pour fêter la victoire de Spartaco, l'affront fait à César, et l'affranchissement de tous les esclaves emprisonnés.
Et là vous comprenez l'intérêt de voir le spectacle de dos. On était contents d'être dans la cage finalement. On a même dansé en même temps qu'elles !!!
Le lendemain, les derniers convives profitèrent du brunch mis à leur disposition pour remercier les 41 Dolois (et le Quatalagor par extension) de cette brillante organisation.
Ce week-end restera une nouvelle fois comme un grand souvenir dans la longue et riche histoire du Quatalagor Dolois. La tradition d'accueil des Dolois est respectée haut la main, la barre est toujours très haut placée quand Dole organise un événement. Preuve en est faite : on en a pris plein les mirettes.
Antony

Bon, toutes les photos suivantes sont vues de la cage, angle inédit et imprenable s'il en est, vous n'en verrez nulle part ailleurs des comme celles-là !






Bon, c'est vrai qu'au bout d'un certain temps à croupir dans les geôles de César, c'est plus trop la forme olympique, surtout quand les godets de vin rationnés arrivent sur la gravière... Mais pour nous remonter le moral, Dibettonix parvint à nous récupérer une femme pour passer le temps ! Merci Dibettonix !










Mais la liberté retrouvée a ses charmes aussi, et c'est avec soulagement que nous sortîmes de la cage.
La fête de Spartaco se prolongea jusque tard dans la nuit (ouh là là, jusqu'à AU MOINS minuit !!!), où se mélangeaient sourires, boustifaille, bonne humeur, danses et chants (la la, la la, lalalalalèreuh...).
La fête était totale chez les Tablers, en osmose avec tout le Quatalagor.





(On se souviendra des blagues de fin de soirée de Rémy. Ou pas ;-).)



Je sais pas vous, mais moi, des week-ends comme celui-là, ça me donne sacrément envie de recommencer. Non???
Antony
1 commentaire:
Quelle belle chute de rein les ladies...
ANONYMUS CRDBiXUS
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